EOLYA : « Quand la musique vous arrache de l’océan… »

EOLYA : « Quand la musique vous arrache de l’océan… »

EOLYA

Un artiste résolument…  » WILD  » !!!

Comment faire quand la force de la musique vous arrache de l’océan ?

Voilà une douzaine d’année qu’ EOLYA, alias Guilhem, joue du didgeridoo, et exerce le multi-instrumentisme depuis tout petit… tout comme le surf qu’il pratique depuis sa toute tendre enfance. Mais apparemment ce n’est pas un problème pour lui car l’écoute des éléments naturels est une pratique qui lui est familière pour ce bel et jeune artiste, qui aime observer le ciel et la mer !  Ces éléments sont la source de ses inspirations et compositions musicales.

Lorsque le soleil et les vagues du Sud-Ouest Français sont là… et bien il surfe à la cool ! Et quand la météo boude, il est au dessus de tout ça avec ses petits moments privilégiés à lui, quand il compose et joue du didgeridoo, Handpan, Flûtes et autres instruments dans son studio d’enregistrement personnel « made in home« .

  • Bonjour, vous êtes qui ?

  Salut ! Moi c’est Eolya, j’ai 29ans et j’habite à Anglet, au Pays Basque. Je suis passionné par la musique depuis tout petit. J’ai commencé par le Piano, puis la guitare et la batterie… et depuis quelques années le Didgeridoo, le Handpan, les Flûtes, la Vielle à roue et le Rebec. Je suis également passionné par le Surf, que je pratique depuis petit également. J’ai eu la chance de grandir dans une famille de sportifs et de passionnés par la nature, ce qui m’a permis d’évoluer dans un milieu sain, c’est une véritable chance aujourd’hui !

Je suis un homme orchestre des temps modernes, avec mes Didgeridoos, Handpans, Guitares, Vielle à roue, Flûtes, Rébec… je marie les continents et les influences musicales d’autour du globe ! Je considère ma musique comme étant « Celtique Tribale« , cela correspond assez bien à ce que je cherche à produire en Live !

  • Pourquoi ce nom d’artiste ?

C’est un nom que j’ai « reçu » en rêve, je suis très proche des traditions des peuples premiers, particulièrement les Amérindiens, et c’est comme ça qu’ils reçoivent leur « vrai » nom ! Du coup je me suis dis que cela serait super de garder ce nom qui représente, en plus, très bien mon univers. Clin d’œil à « ÉOLE » le Dieu du vent, ça colle plutôt bien au Didgeridoo, flûte, chant…

  • Comment s’est passé votre rencontre entre-vous dans votre tête… vous devez être nombreux la dedans ?

Pour le moment je vis assez bien avec moi-même, je me supporte bien… lol !

  • L’idée de faire un album vous est venue comment ?

Plusieurs personnes, dont la famille, m’ont dit que ce serait génial de partager ce que je fais dans des cds. L’idée m’a vraiment plu et je me suis lancé ! Le numérique c’est bien, la version physique apporte quand même quelque chose de plus personnel. L’univers de la pochette, les dessins, les typos, tout ça représente l’artiste, bien mieux qu’un mp3 ou wav en ligne.

  • Combien de temps cela vous a pris entre le jour de votre rencontre et la sortie de l’album ?

Assez vite au final, j’ai été assez inspiré, les morceaux ont très vite été concrétisés et mastérisés.

  • Votre album contient-il une sorte message quelconque ?

Bien sûr ! Prendre soin de notre Terre Mère, principalement. Je cherche vraiment à partager cet Amour que j’ai pour la Terre, la Nature en général. L’intérêt d’en prendre soin, de la préserver, de sensibiliser à la fragilité de son équilibre.

Je parle aussi de l’Humain, de spiritualité, de cette nécessité de renouer avec ce qui vit au plus profond de Nous. Ce qui nous lie et fait en sorte que « nous ne sommes tous qu’un » comme disent les peuples premiers. Ce cheminement qui change les Garçons et Filles en Hommes et Femmes, pas d’un claquement de doigt ou d’un simple chiffre représentant notre âge. Mais d’une certaine sensibilité, de nos ressentis, ce désir de découverte de qui on est, ce pourquoi on est plus ou moins fait.

  • Quel est votre titre phare ou favori ? Pourquoi et que vous inspire-t-il ?

Ça c’est vraiment super dur comme question !

Plusieurs titre me parlent, mais le plus « phare » serait certainement « L’Hôte ». Il parle de cet espace en Nous, sacré, personnel et intuitif. Du lien avec la Nature et l’intérêt. De ne pas s’en déconnecter totalement sans quoi il nous manque quelque chose de vital et d’essentiel. Mais il y a aussi « Ose » que j’ai composé il y a deux ans, je vous laisse découvrir la musique par elle-même, vous comprendrez !

  • Quel(s) effort(s) ou sacrifice(s) avez-vous été obligé de faire pour améliorer ou amener votre album à terme ?

A vrai dire je n’ai pas tant résonné en terme d’efforts, vu que c’est quelque chose que j’aime vraiment. Mais j’aime souvent comparer le sport et la musique en quelque sorte. Il faut qu’il y ai une certaine discipline, une persévérance, s’accrocher et ne pas abandonner. C’est comme en Surf, quand tu prends 6 vagues sur la tête, et que tu ne dois rien lâcher sinon tu finis sur la plage ou pire, sur les cailloux !

En musique c’est un peu pareil, il y a des ratés, faut tout refaire, la prise de son n’était pas bonne, on ne maîtrise pas assez une certaines techniques d’instrument. Alors on respire un bon coup, et on s’accroche parce que c’est ce qu’on aime !
J’arrive assez bien à visualiser la finalité de ce que je souhaite faire, du coup cela m’aide lors de moments difficiles ou compliqués ! « Purée ! Si j’arrive à faire ça comme ça, ça va être génial ! »

  • Votre plus beau souvenir en studio où en live pour cet album ?

Ce sont à chaque fois des moments uniques et magnifiques ! Je mixe mes propres morceaux, je me suis formé dans le son et ai réalisé quelques mixes pour des copains qui ont été très surpris hahaha… Ce que je garde toujours dans mes morceaux, même en studio, c’est une part d’improvisation. J’ai une ligne à suivre, je sais où je vais, mais par moment c’est comme si un petit chemin se dessinait en parallèle ! « Tiens ça a l’air cool par là-bas, allons voir ça », la destination reste la même, seul le chemin change un peu ! Et il en née, la plupart du temps, des notes ou parties de morceaux assez incroyables. Être dans le ressenti et pas trop dans le mental à vouloir tout contrôler et tout cadrer. Je pense que c’est ce qui me représente le mieux, laisser cette part d’intuition qui nous compose tous, laisser la magie du moment faire son travail…

  • Votre pire souvenir en studio où en live pour cet album ?

Quand l’ordi plante sans avoir fait de sauvegarde automatique, 2 fois d’affilé et qu’il faut tout refaire ! Quand tu enregistres et que tu réalises que le métronome s’entend, quand le chat vient manger ses croquettes en plein enregistrement… hahaha rien de grave, mais sur le moment, tu te dis que ça va être long et fastidieux !

  • A la vitesse où vont les choses aujourd’hui, auriez-vous un message personnel pour les gens qui écoute ou écouteront votre album ?

Déjà, j’espère que cela vous parlera, que cela réveillera quelque chose en vous, que vous prendrez du plaisir à écouter, tout simplement !
Mais à vrai dire je n’attends pas vraiment de retours, c’est surtout le plaisir d’offrir, de partager. Après cela fait toujours extrêmement plaisir de se sentir reconnu, de voir que les gens apprécient, c’est un bonus qui pèse son poids !

Pour ceux qui se lancent, amusez-vous, vraiment, c’est la base d’un travail bien fait. S’il n’y a pas cet amusement, s’il n’y a que de la pression et des obligations, on ferme les portes de la magie. On reste enfermé dans le mental, et l’intuition, la beauté de la Musique, ne s’exprime que très rarement dans toute sa splendeur. Gardez cette part d’enfant qui veut jouer avec ce qui l’entoure, tout en ayant cette maturité d’en être conscient. Ça peut paraître simple, mais cela se perd très vite, « why so serious ? »

  • Quels sont vos plans pour la suite ?

En ce moment, je travaille beaucoup avec le Handpan, la Vielle à Roue et le Rebec. Je prépare un nouveau set live, pour essayer d’intégrer mes nouvelles inspirations. Cela demande beaucoup de temps et d’organisation, car bien qu’il y ai de l’intuition et de l’inspiration, un morceau, ça se construit ! Il faut que ça soit cohérent, c’est une histoire racontée au travers d’une musique, on évite de commencer par la fin… Je n’y réfléchis pas trop, je laisse vraiment les choses se faire d’elle-même. Cela ne m’empêche pas de partager sur les réseaux, faire mon petit trou petit à petit et chercher des dates de concerts ! Mais pas de pression, cela reste du pur plaisir et de la joie pour moi, cette chance de pouvoir faire de la musique !

 

L’album  » WILD  » de EOLYA est un mélange subtile et planant entre le Didgeridoo, Handpan, Vielle, Flûte etc… le tout mené par une belle âme créatrice !

10 titres somptueux pour un voyage sans fin… superbe !

Voici quelques liens pour écouter  » WILD  » :

CONCLUSION :

J’ai rencontré EOLYA il y a quelques années lors du HANDPAN FESTIVAL du côté de Mèze, dans le Sud de la France. Et j’ai tout de suite accroché sur la simplicité de ce « BRAD PITT » à la française, avec sa bouille de séducteur…. et j’avoue avoir été séduit par son univers musical ainsi que son amour pour l’océan… normal car on est des surfeurs tous les deux.

Ce que j’ai le plus aimé chez EOLYA, c’est qu’il ose faire des covers assez culottés comme la chanson « FEELING GOOD » (1965) de l’immense NINA SIMONE… et là, je dis bravo !  Vous pouvez voir tout ça sur sa chaine YOUTUBE

Si jamais des programmateurs de festivals cherchent une identité nouvelle et fraiche, et bien sachez messieurs que EOLYA en a le profil idéal… alors n’attendez pas trop longtemps car les projets de ce talentueux garçon ne se feront pas attendre !

Merci EOLYA d’être !!!

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Par |2020-04-14T17:38:17+02:00mars 8th, 2020|Blog Music|2 Commentaires

Follow and discover the DIDJAMAN univers !

À propos de l'auteur :

Raphaël Didjaman était d’abord saxophoniste et Deejay jusqu’à l’âge de 27 ans, il a tout plaqué un jour pour partir en Australie. Sur ces terres originelles, il a découvert le didgeridoo. A l‘écoute de rites aborigènes, il a senti que cet instrument serait au cœur de tous les changements que connaîtrait sa vie… C‘était en 1995.

2 Commentaires

  1. Bourdel 11 mars 2020 à 9 h 56 min - Répondre

    Tout cela me touche en plein coeur : océan, vent, celte, Homme Orchestre, Amérindiens. Merci Raphaël de nous l’avoir présenté.

  2. Vincent Schweitzer 24 avril 2020 à 22 h 14 min - Répondre

    Salut Raphaël ,
    Super musicien que tu nous fait découvrir, j’adore son approche de la musique, il va faire honneur au super beau didj bleu.
    Merci à toi pour ces moments musicaux.
    Cordialement,
    Vinch

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EOLYA : « When music tears you from the ocean… »

EOLYA

An artist resolutely …  » WILD  » !!!

What do you do when the force of music rips you out of the ocean?

EOLYA, alias Guilhem, has been playing didgeridoo for a dozen years and has been practicing multi-instrumentism since very young … just like the surf he has been practicing since his childhood. But apparently it is not a problem for him because listening to the natural elements is a practice which is familiar to him for this beautiful and young artist, who likes to observe the sky and the sea ! These elements are the source of his inspirations and musical compositions.

When the sun and the waves of the French Southwest are there… well, it’s cool! And when the weather sulks, he is above all that with his special moments, when he composes and plays didgeridoo, Handpan, Flutes and other instruments in his personal recording studio « made in home« .

  • Hello, who are you ?

Hi ! I’m Eolya, I’m 29 years old and I live in Anglet, in the Basque Country of France. I have been passionate about music since childhood. I started with the Piano, then the guitar and the drums… and for a few years the Didgeridoo, the Handpan, the Flutes, the Hurdy-Gurdy and the Rebec. I am also passionate about Surfing, which I have been practicing since childhood too. I was fortunate to grow up in a family of sports enthusiasts and passionate about nature, which allowed me to evolve in a healthy environment, it is a real chance today !

I am a modern orchestra man, with my Didgeridoos, Handpans, Guitars, Hurdy-Gurdy, Flutes, Rebec… I marry continents and musical influences from around the globe! I consider my music to be « Celtic Tribal« , it corresponds quite well to what I am trying to produce live !

  • Why this artist name?

This is a name that I « received » in a dream, I am very close to the traditions of the first peoples, especially the Amerindians, and this is how they receive their « real » name! So I told myself that it would be great to keep this name which also represents my universe very well. A nod to « ÉOLE » the God of the wind, it sticks pretty well to Didgeridoo, flute, song…

  • How did your meeting go in your head… you must be many in there ?

For the moment I live quite well with myself, I support myself well… lol !

  • How did you come up with the idea of making an album ?

Several people, including family, have told me that it would be great to share what I do in CDs. I really liked the idea and I got started ! Digital is good, the physical version still brings something more personal. The universe of the cover, the drawings, the typos, all that represents the artist, much better than an mp3 or wav online.

  • How long did it take you between the day of your meeting and the release of the album ?

Quite quickly in the end, I was inspired enough, the pieces were quickly materialized and mastered.

  • Does your album contain some sort of message ?

Of course ! Take care of our Mother Earth, mainly. I’m really looking to share this Love that I have for Earth, Nature in general. The interest of taking care of it, of preserving it, of raising awareness of the fragility of its balance.

I also speak of the Human, of spirituality, of this need to reconnect with what lives deep within Us. Which binds us together and makes « we are all one » as the first peoples say. This journey that changes Boys and Girls into Men and Women, not a snap of a finger or a simple number representing our age. But of a certain sensitivity, of our feelings, this desire to discover who we are, why we are more or less made.

  • What is your flagship or favorite title ? Why and what inspires you ?

That’s a really tough question !

Several titles speak to me, but the most « flagship » would certainly be « The Host« . He speaks of this space in Us, sacred, personal and intuitive. Of connection with Nature and interest. Not to completely disconnect from it, otherwise we are missing something vital and essential. But there is also « Dare » that I composed two years ago, I let you discover the music by itself, you will understand !

  • What effort(s) or sacrifice(s) did you have to make to improve or bring your album to fruition ?

To tell the truth, I didn’t resonate so much in terms of efforts, since it’s something I really like. But I often like to compare sport and music in a way. There must be a certain discipline, persistence, to hang on and not to give up. It’s like in Surf, when you take 6 waves on your head, and you don’t have to let go of anything otherwise you end up on the beach or worse, on the pebbles !

In music it’s a bit the same, there are failures, you have to redo everything, the sound was not good, we do not master enough certain instrument techniques. So we take a deep breath, and we hang on because that’s what we like !
I can pretty well visualize the purpose of what I want to do, so it helps me during difficult or complicated moments!  » Damn ! If I can do this like this, it will be great ! « 

  • Your best memory in the studio or live for this album ?

Each time they are unique and magnificent moments! I mix my own songs, I trained in sound and made some mixes for friends who were very surprised hahaha… What I always keep in my songs, even in the studio, it’s a part of improvisation. I have a line to follow, I know where I am going, but at times it is as if a small path is drawing in parallel ! « Here it looks cool over there, let’s see that », the destination remains the same, only the path changes a little ! And it was born, most of the time, notes or parts of songs quite incredible. Be in the feeling and not too much in the mind to want to control everything and frame everything. I think that is what best represents me, to let that part of intuition that makes us all up, let the magic of the moment do its work…

  • Your worst memory in the studio or live for this album ?

When the computer crashes without having made an automatic backup, 2 times in a row and you have to redo everything! When you record and you realize that the metronome can be heard, when the cat comes to eat its kibbles in full recording… hahaha nothing serious, but at the moment, you tell yourself that it will be long and tedious !

  • At the speed that things are going today, would you have a personal message for the people who are listening or will listen to your album ?

Already, I hope that it will speak to you, that it will awaken something in you, that you will enjoy listening, quite simply !
But truth be told, I’m not really expecting feedback, it’s above all the pleasure of offering, of sharing After that it’s always extremely fun to feel recognized, to see that people appreciate, it’s a bonus that weighs its weight !

For those who get started, have fun, really, this is the basis of a job well done. If there is not this fun, if there is only pressure and obligations, we close the doors of magic. We remain locked in the mind, and intuition, the beauty of Music, is only very rarely expressed in all its splendor. Keep this part of the child who wants to play with what surrounds him, while having this maturity to be aware of it. It may seem simple, but it gets lost very quickly, « why so serious ?« 

  • What are your plans for the future ?

At the moment, I work a lot with the Handpan, the Hurdy-Gurdy and the Rebec. I’m preparing a new live set, to try to integrate my new inspirations. It takes a lot of time and organization, because although there is intuition and inspiration, a song is built! It has to be coherent, it’s a story told through music, we avoid starting at the end… I don’t think about it too much, I really let things happen by itself . That does not prevent me from sharing on the networks, making my little hole little by little and looking for concert dates ! But no pressure, it remains pure pleasure and joy for me, this chance to be able to make music !

The album « WILD » by EOLYA is a subtle and hovering mixture between the Didgeridoo, Handpan, Vielle, Flute etc… all led by a beautiful creative soul !

10 sumptuous titles for an endless journey… superb !

Here are some links to listen to « WILD« :

DEEZER : https://www.deezer.com/fr/album/108833812
APPLE MUSIC : https://music.apple.com/it/artist/eolya/1477903796
SPOTIFY : album listening to subscribers.

CONCLUSION :

I met EOLYA a few years ago during the HANDPAN FESTIVAL near Mèze, in the South of France. And I immediately hooked on the simplicity of this French « BRAD PITT », with its seductive flavor …. and I admit I was seduced by his musical universe as well as his love for the ocean. .. normal because we are both surfers.

What I liked most about EOLYA is that he dares to make pretty cheeky covers like the song « FEELING GOOD » (1965) from the huge NINA SIMONE… and there, I say bravo ! You can see it all on his YOUTUBE channel…

If ever festival programmers are looking for a new and fresh identity, well know gentlemen that EOLYA has the ideal profile … then do not wait too long because the projects of this talented boy will not be long in coming!

Thank you EOLYA for being !!!

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Par |2020-03-09T00:29:56+01:00mars 8th, 2020|Blog Music, Music BLOG|0 commentaire

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À propos de l'auteur :

Raphaël Didjaman était d’abord saxophoniste et Deejay jusqu’à l’âge de 27 ans, il a tout plaqué un jour pour partir en Australie. Sur ces terres originelles, il a découvert le didgeridoo. A l‘écoute de rites aborigènes, il a senti que cet instrument serait au cœur de tous les changements que connaîtrait sa vie… C‘était en 1995.

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